statc J£w$ Got Mon€¥: 2024

jeudi 11 avril 2024

Enfin un peu de franchise...

Raanan Gaberer a qui j'avais demandé un coup de main, fait semblant de ne pas comprendre mon message et répond à côté. J'ai l'habitude...  

Mais Ran m'envoie un second message bien plus intéressant et plein de franchise.



Au moins, les choses sont claires. Tjs ce même cliché du juif pauvre orthodoxe (les juifs pauvres sont partout) mais au moins il dit les choses.

Tout irait bien si, tous les jours, entre 150 000 subventions, ces geignards professionnels ne se plaignaient pas constamment des stéréotypes antisémites...

Certains ne sont pas dérangés par ce stéréotype du juif qui réussit, grand bien leur fasse. 

Mais alors cessez de vous plaindre de ce même stéréotype si vous ne faites rien contre. Ne venez pas pleurer sur une soi-disant "solitude des juifs", un manque d'initiatives etc etc Faire l'autruche ne fonctionne jamais!

Et cessez de quémander des subventions pour organiser de grands raouts pour geindre! Prenez exemple sur Ran et dites ce que vous pensez vraiment! 

Il y a de bons psys dans la communauté...


---------


Et on se délecte des mots du geignard Hugues Serraf, grand silencieux devant l'Eternel quand on le contacte:

"Alors c’est sûr, les juifs sont constamment en train de se plaindre (...)

Jamais contents. Tiens, même leur principal monument religieux est un « mur des lamentations », c’est dire s’ils sont spécialistes de la jérémiade. Comment les prendre au sérieux ?"

mardi 9 avril 2024

Gen Z, Infected with Antisemitism, Is Spreading the Very Disease It's Committed to Eradicating

(...)  judging from the sentiments of Gen Z, because the same generation that 

professes 

to be the most intolerant of bigotry is also the most intolerant of bigotry's most 

consistently hunted targets, the Jews. A December 2023 Economist/YouGov Poll 

found that exactly half of all Americans aged 18-29 either think "the Holocaust is a 

myth," or are agnostic about whether the worst genocide in modern times is factual 

or 

mythical. A Harvard-Harris poll that month found that 67 percent of 18-24-year-olds 

"think that Jews as a class are oppressors and should be treated as oppressors." 

If the Oct. 7 massacre was a case of Jews "being treated as oppressors," it would 

explain why it was celebrated on so many campuses and why support for Hamas 

(not Palestinians) is alarmingly widespread among Gen Z. An Oct 18-19

 Harvard-Harris poll, albeit one with a small sample of respondents, found that 

48 percent of Gen Zers supported the jihadist death cult that endorsed the 9/11 

attacks and eulogized Osama bin Laden.

Even correcting for the possibility that these numbers overstate the case, it 

remains that the generation that wears the label "anti-racist" most proudly is 

the most susceptible to the bigotry that the word "racism" originally and almost 

exclusively designated: antisemitism.

(...)


 While some of these Gen Zers must be aware of their antisemitism, most are probably unwitting carriers of this strain of racism. This adds another layer of hypocrisy to their antisemitism because from Gen Z's glass houses, a stone very often thrown is the charge that Americans fail to recognize their "implicit bias," that they're more racist than they realize. This recalls a half-century-old vignette involving another young Western anti-racist similarly deficient in self-awareness. In 1976, four terrorists (two German leftists and two Palestinians) hijacked an Air France plane and diverted it to Entebbe, Uganda, where they released all the passengers except the Israeli citizens and six non-Israeli Jews. Two of the hostages (both Holocaust survivors) pointed out to one of the German hijackers that by herding Jews into captivity he was following the example of the last German generation. "My goals are different," the German protested indignantly.


But antisemites are nothing if not imaginative, and every generation refreshes old justifications, or invents new ones for its hatred. Whether they are illiberal leftists, isolationist rightists, Islamic extremists, white nationalists, or Black separatists, antisemites always think their reasons for hating Jews are "the right reasons." As Albert Einstein observed after Kristallnacht, "The crimes with which the Jews have been charged in the course of history—crimes which were used to justify the atrocities perpetrated against them—have changed in rapid succession."

(...)


https://www.newsweek.com/gen-z-infected-antisemitism-spreading-very-disease-its-committed-eradicatingracism-1888052

Antisemitism in Latin America

The media’s fixation on antisemitism in the West makes sense given that the Jewish diaspora is concentrated in Western Europe and Anglo-America. But Jews do not only live in “rich” countries, and since the Hamas attacks on Israel, the media has failed to expose the day-to-day dangers faced by Jews living in less prominent regions such as Latin America (...) 

Political leaders in nearly every Latin American country espouse popular tales about Jewish control of the media, politics, and the economy. Supporters of these antisemitic leaders include José Antonio Kast, the son of a Nazi SS lieutenant and frontrunner for the next Chilean presidential election, and Daniel Jadue, the mayor of Recoleta linked to the Palestinian Liberation Organization (PLO). A number of politicians and associations linked to former Brazilian president Jair Bolsonaro have also promoted antisemitic conspiracies and espoused neo-Nazi imagery.


https://www.jpost.com/opinion/article-796002

mercredi 3 avril 2024

Act-up et l'antisémitisme

 « Je me suis dit : mais en fait, en tant que juif, on n’est pas bienvenu », comme « dans beaucoup de luttes à gauche en ce moment », s’émeut une sympathisante d’Act Up, de confession juive, qui a souhaité garder l’anonymat.


https://www.20minutes.fr/societe/4084582-20240403-sait-crise-sein-act-up-paris-fond-accusations-antisemitisme


Eh ouais, toutes ces assos (gavées de subventions) nourrissent l'antisémitisme, elles acceptent tout et n'importe quoi pourvu qu'on soit "militant".  Traduction: De gauche et humaniste.


Et ces fameux "militants" se foutent que les juifs connaissent quoi que ce soit à Israel, religieux ou non, ils sont "juifs" et donc "ennemis".

Pendant des décennies, ces militants juifs (Le fondateur d'Act-up était Larry Kramer (juif), convaincus de la "justesse" de leurs combats (subventionnés) ont fermé les yeux sur d'autres "militants", ils ont recruté et aidé à tout va, croyants que tous les militants "de gauche" étaient des Bisounours.  

Jusqu'au réveil brutal... 


Partout, dans nos démocraties, pour faire "gentil", pour faire "humaniste", pour faire "tolérant", des bien-pensants, souvent juifs, ont ouvert les portes à des "militants" issus de la fameuse "diversité". Problème: bien souvent ces nouveaux entrants n'avaient pas exactement les mêmes visées que leurs recruteurs. En plus de l'antisémitisme "ambiant", présent dans toutes les strates de la société depuis toujours, une couche "diversitaire" a été rajoutée. 

Et cette fameuse "diversité" a un objectif clair: Jew hatred.

Et aujourd'hui tout explose.

lundi 25 mars 2024

Juifs sans argent

 

Résumé :
Michael GOLD
Lower East Side, Manhattan, 1900. L'envers du rêve américain. Dans les taudis, les immigrés juifs, irlandais, italiens s'entassent et se tuent à la tâche. Dans la rue, les gamins grandissent entre prostituées, gangsters, vendeurs ambulants et travailleurs exploités. Parmi eux, le jeune Mike fait ses premières expériences de la vie.
« Effervescence, crasse, bagarres, chaos ! La rumeur de ma rue montait comme le grondement d’une fête foraine, comme l’onde de choc d’une catastrophe. Ce bruit résonnait constamment à mes oreilles. Même dans mon sommeil, je l’entendais ; je l’entends encore aujourd’hui. »
Michael Gold, fils d'immigrés juifs d'Europe de l'Est, chef de file de la littérature prolétarienne américaine et militant communiste, nous plonge, avec ce roman, dans le quotidien d'un quartier populaire de New York.

https://www.babelio.com/livres/Gold-Juifs-sans-argent/339289




Le ghetto universel

Voici une heureuse initiative de la maison d’édition Nada, à qui l’on doit la réédition de textes sacrifiés à l’air du temps, comme ces essais critiques sur Nietzsche de Victor Serge annoncés pour bientôt, et aujourd’hui, celle de Juifs sans argent. Ce tableau réaliste-socialiste du Lower East Side, quartier miséreux de New York au tournant du XXe siècle, est l’œuvre d’un journaliste juif et communiste new-yorkais. Michael Gold, qui se choisit ce pseudonyme provocateur, voulait en finir avec les clichés. Publié aux États-Unis en 1930, Juifs sans argent parut en français dès 1932 dans une traduction de Paul Vaillant-Couturier, dont la préface a été reprise dans la présente édition.


Michael Gold, Juifs sans argent. Trad. de l’anglais (États-Unis) par Romain Guillou. Avant-propos de Solomon Bovshover. Nada, 348 p., 20 €


Le fait que ce roman semi-autobiographique ait été écrit dans le style hyper réaliste-socialiste de la littérature prolétarienne ne signifie pas pour autant que la description du monde qui y est exposée soit fausse, ni même exagérée. Loin de là, même s’il est possible que la fidélité à ce genre littéraire de l’écrivain lui aussi communiste Paul Vaillant-Couturier ait justifié une nouvelle traduction. Certes, Michael Gold était un admirateur de l’expérience soviétique mais, à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, le Lower East Side fut bel et bien le lieu où s’échoua de la façon la plus brutale, la plus sordide, le rêve américain. Pour John Dos Passos, relève dans son excellent avant-propos Solomon Bovshover, Juifs sans argent était « l’un des rares livres qui reproduise si parfaitement le goût et l’odeur, la terreur et l’immensité de l’East Side ». Décrit des décennies plus tard avec une approche sociologique par Irving Howe dans Le monde de nos pères (1976), ce quartier que l’on pouvait atteindre à pied en descendant du bateau et du ferry, après le passage obligé à Ellis Island, était pour les plus chanceux d’entre eux l’antichambre du Bronx. Y déménager signifiait déjà l’ascension sociale. Les parents de Michael Gold, Chaim et Gittel Granich, n’eurent pas cette chance : ils moururent l’un et l’autre Chrystie street, artère principale de l’insalubre, violent et arriéré Lower East Side. Ce « ghetto universel », selon Michael Gold, fut aussi le théâtre du grand roman d’Henry Roth, L’or de la terre promise (Call it Sleep), publié au même moment mais qui, lui, passa alors inaperçu.

Michael Gold et Henry Roth connurent d’ailleurs un destin comparable, mais si Gold eut son heure de célébrité à la sortie de Juifs sans argent, best-seller réédité onze fois l’année de sa parution, avant de sombrer dans l’oubli et la semi-pauvreté, Roth quant à lui ne connut le succès que 30 ans plus tard et vécut finalement aussi chichement que Gold la majeure partie de sa vie. Tous deux furent aussi communistes dans l’Amérique conservatrice et en payèrent le prix. Comment d’ailleurs ne pas le devenir lorsque le terrain de jeu est la rue où enfants, mendiants, prostituées et vendeurs à la volée (activité au plus bas de l’échelle) risquent à tout moment d’être harcelés par la police, renversés par un tramway ou une charrette à cheval ? Et pourtant, « petit sauvage amoureux de la rue », comme il se définit lui-même, Gold sait, de temps à autre, s’écarter du récit trop misérabiliste, croquer le portrait du maître d’école qui leur fait ânonner des prières en hébreu et qui est « bête à manger du foin », méchant aussi ; celui du « maquereau vertueux » ; raconter les tours que les gosses jouent aux flics racistes et brutaux. En bande, comme toujours et partout dans ces territoires perdus : « Il fallait entrer dans une bande pour se protéger, et être loyal. Il fallait aussi être courageux. Même moi qui était un enfant à part, malheureusement enclin à l’introspection, je faisais preuve de courage ». Mais aussi, ce qui évidemment frappe aujourd’hui l’attention dans ce paysage, c’est la nostalgie, dans le monde d’avant la Shoah, de cette Europe orientale pourtant quittée en raison des pogromes et de la misère, et que véhiculent généralement les mères.

Michael Gold, Juifs sans argent

« Cliff Dwellers », de George Bellows (1913)

Le rêve américain s’est révélé une chimère. À propos de ce dernier, Paul Vaillant-Couturier raconte dans sa préface écrite en 1932 en avoir été témoin lorsque, passant par le quartier Saint Paul, à Paris, il vit deux fillettes jouer à la marelle : elles poussaient une pierre, sautillant d’une case à l’autre : « Mais par terre, ce n’était pas ‘enfer, purgatoire, paradis’ que les petites filles juives avaient écrit. C’était les trois noms de villes : Kovno, Paris, New York ». New York, le paradis. La délivrance de l’Europe. La mère de Michaël Gold, elle, n’a jamais cru au rêve américain. C’est de sa Hongrie natale qu’elle rêve, de forêts et de cueillette de champignons. Lorsqu’un jour son mari décide d’emmener toute la famille piqueniquer dans un parc du Bronx, elle éclate de joie en marchant pieds nus dans l’herbe. Elle était pieuse et généreuse. La bonté cependant ne rime pas forcément avec la pauvreté, même si Gold s’efforce de souligner la solidarité qui règne entre les pauvres. Les méchants, ce sont les Juifs riches et les rabbins qui vivent sur le dos de la communauté. Bien que, conformément à la littérature prolétarienne, il ne fasse pas dans la nuance, il reste crédible, trop crédible, malheureusement.

Gold dit qu’il aurait pu devenir gangster et finir comme certains de ses copains de rue, sur la chaise électrique. Il eût la chance de s’en sortir grâce à l’école du soir, après de petits boulots éreintants et, surtout, lui qui contrairement au monde qui l’entourait ne croyait pas au messie, il a celle de rencontrer un soir un homme qui, « sur une tribune improvisée a déclaré que du désespoir, de la tristesse et de la colère impuissante des masses était né un mouvement mondial qui allait abolir la pauvreté. » Il faut avoir lu son récit pour en comprendre le lyrisme de la fin : « Ô Révolution ouvrière, tu as su apporter de l’espoir au garçon solitaire et suicidaire que j’étais. Tu es le vrai Messie. Lors de ton avènement, tu raseras l’East End et tu y érigeras un jardin pour l’esprit humain. Ô Révolution, tu m’as forcé à réfléchir, à me battre et à vivre. »

Michael Gold, Juifs sans argent

Michael Gold, photographié par Tim Davenport (1930)

Bien qu’il ait d’abord assisté aux meetings de l’anarchiste Emma Goldmann, Michael Gold deviendra un fervent défenseur de l’URSS. Contrairement à elle qui rentra plus que sceptique d’un voyage dans la Russie révolutionnaire, il revint d’un premier séjour à Moscou, effectué en 1925, puis d’un autre, en 1930, renforcé dans ses convictions. Un temps à la direction de la revue socialiste New Masses, il en fit sortir les auteurs bohèmes et gauchistes. Peu importait que la revue perde en qualité littéraire, elle n’en serait que plus révolutionnaire. « Go Left, Young Writers ! » (« À gauche, jeunes écrivains ! »), lança-t-il dans le numéro de janvier 1929 de New Masses, initiant avec ce slogan, selon Solomon Bovshover, le mouvement de la littérature prolétarienne américaine.

À la fin de la guerre, son inflexible soutien à l’Union soviétique (qui n’aurait vacillé qu’un temps à l’annonce de la signature du pacte germano-soviétique de 1939) et la chasse aux sorcières du maccarthysme ambiant lui font perdre amis et relations. En novembre 1956, Michael Gold va jusqu’à donner une interview en défense de l’intervention de l’Armée rouge contre l’insurrection de Budapest. Il n’est plus perçu que comme une marionnette aux mains de Moscou. Moscou qui l’ignore : son livre n’y sera jamais réédité, tandis que la première et seule édition de 1931 aura été expurgée. Aura-t-il jamais compris que Staline n’aimait pas les Juifs, même pauvres ? Cet amour à sens unique le renverra à la misère dont il avait réussi à s’extraire. « De figure de proue, dit encore Bovshover, il devint paria ». Il n’a plus d’auditoire, il ne collabore plus à aucun journal.

À près de 60 ans, Michael Gold et sa femme doivent reprendre le chemin de l’usine pour survivre. Mort en 1967, à 73 ans, d’un accident vasculaire cérébral, il n’eut pas le temps d’achever ses mémoires. Celui qui fut un temps considéré comme le Gorki américain n’aura été finalement l’auteur que d’un seul livre, Juifs sans argent – et ce n’est pas rien.


--------------------------

An Orphan in History, by Paul Cowan
(...)
Finally he found among the poor Jews of the Lower East Side the one club of the underprivileged (to invert Groucho Marx) that had to accept him as a member. In fact, the embracing warmth of these people, who received him as a fellow Jew, made him feel at home at just the moment in his personal life he needed it the most.
(...)

When in the course of an assignment Cowan discovered the Jewish poor of the Lower East Side, and an Orthodox community closer to the immigrant source, he became excited by his own connection with this tradition, and moved by nostalgia to explore it as a subject.

(...)

https://www.commentary.org/articles/ruth-wisse/an-orphan-in-history-by-paul-cowan/

mardi 19 mars 2024

Despite war and rising antisemitism, 80% of Israelis abroad don't want to return to Israel

According to the survey, 80% of the respondents said that they do not intend to return to Israel, even though they feel insecure in their countries of residence.

https://www.jpost.com/israel-hamas-war/article-792763



I predict a return of many Jews to their ancestors lands: Bulgaria, Poland, Hungary, Germany etc etc
Hebrew is a difficult language and life is far from being peaceful in Israel...

lundi 11 mars 2024

On the Hatred of Jews

 (...)  People hate Jews because they are communists, capitalists, foreigners, residents, immigrants, elitists, have strange ways, are unassimilated, too assimilated, bankroll the left (like George Soros) or bankroll the right (like Sheldon Adelson). People hate Jews because they are weak and stateless, or because they are Zionists and defend Israel  (...)


https://jewishjournal.com/commentary/opinion/368908/on-the-hatred-of-jews/

dimanche 10 mars 2024

"It's Jews that control the banks"

 https://vimeo.com/910680176

A speech by Rabbi Wolpe.

"it became impossible for people to see Jews the same way they see other people, and to see them in a way that is almost always to their detriment even sometimes when they are Jewish themselves"

mercredi 6 mars 2024

Who got America to the moon? An unlikely collaboration of Jewish and former Nazi scientists and engineers

 (...)  On the other side was Abraham Silverstein, who had grown up in a poor Jewish family in Indiana. He was NASA’s space flight chief and later became director at NASA’s Lewis Research Center in Cleveland (...)

The collaboration between Von Braun and Silverstein was not unique. During the Apollo program, which landed Americans on the moon six times between 1969 and 1972, NASA was filled with both Jewish scientists and a large group of Germans who had worked for Hitler before and during World War II. The Nazi regime had been dedicated to the extermination of Jews. That the two groups were able to work side by side suggests a level of reconciliation, or at least acceptance, that would seem a near impossibility in today’s fractious social and political climate.

(...)

It was an era when moral judgments took a back seat to a deeply held commitment to the future of space travel and support of national goals.

The children of both the Germans and the Jews say there was never any talk at home about resentments or bigotry. Instead, their parents were laser-focused on the monumental challenge of the lunar mission. NASA historical records tell the same story.

It helped to have a little humor too.

“My dad said NASA was built by Jews, Nazis and hillbillies,” recalled Reuben Slone, the son of NASA engineer Henry Slone, a member of the Cleveland Jewish community.

The story of that collaboration has scarcely, if at all, been written about, space historians say, though much has been written about the German scientists and some about various Jewish scientists.

(...)

One thing also united many of the NASA Jews and Germans: a mutual hatred of communism.

(...)

The children of several of the Jewish engineers say their fathers never spoke to them about hatred or anger, though they suspect they were uncomfortable.

(...)

In fact, Silverstein said he was in favor of bringing the Germans into the NASA fold, because “they were an important cog in the business and to have left them out would have been silly.”

(...)

Moreover, the Jews had to deal with plenty of discrimination in America. Many went to work at NASA specifically because they were blocked from jobs in private industry.


https://www.latimes.com/california/story/2020-03-01/who-got-america-to-the-moon-a-unlikely-collaboration-of-jews-and-former-nazi-engineers

Jérusalem reste la ville la plus peuplée et la plus pauvre du pays

 Jérusalem continue d'être l'une des villes les plus pauvres d'Israël. En 2021, 39% des familles de la ville vivaient en dessous du seuil de pauvreté, soit près du double de la moyenne nationale. 51% des enfants vivaient en dessous du seuil de pauvreté, contre 28% dans l'ensemble du pays.


https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/societe/1684303006-jerusalem-reste-la-ville-la-plus-peuplee-et-la-plus-pauvre-du-pays

Met Council on Jewish Poverty to distribute $1M worth of halal food during Ramadan

 The Met Council on Jewish Poverty, America’s largest Jewish charity dedicated to fighting poverty, announced Tuesday that it will distribute $1 million worth of halal food to pantries across the city during Ramadan this year.

(...)

“Muslim New Yorkers should know that their Jewish neighbors are looking out for them” 

(...)

https://www.brooklynpaper.com/met-council-to-distribute-halal-food-ramadan/

mardi 5 mars 2024

Les Juifs pauvres sont sous-représentés dans la culture pop US

 Selon un groupe de lutte contre la pauvreté au sein de la communauté juive, les Juifs sont largement représentés à l'écran comme étant plus riches qu'ils ne le sont en réalité.

(...)

 le monde a besoin de plus de personnages juifs qui ne sont pas riches.

(...)


Les représentations de familles juives riches qui dépensent sans compter dans des affaires somptueuses – comme les personnages du dernier film d’Adam Sandler, « You Are So Not Invited to My Bat Mitzvah » (« Tu peux oublier ma bat mitsvah ! » ) – donnent une image déformée des Juifs américains et de leurs besoins financiers

(...)

L’étude conclut que certaines représentations de la richesse dans les communautés juives sont conformes aux stéréotypes antisémites.

(...)

 les Juifs pauvres et issus de la classe ouvrière sont sous-représentés par rapport à leur prévalence dans la vie réelle. Elle affirme qu’une plus grande représentation de ces personnes pourrait conduire à une reconnaissance plus large des Juifs qui ont des difficultés financières.

(...)

 les Juifs dans les films et à la télévision ont tendance à être représentés comme étant globalement plus riches que les Juifs dans la vie réelle, et qu’une telle représentation fait qu’il est plus difficile pour des groupes comme le leur de convaincre le public que de nombreux Juifs ont en fait besoin d’une aide financière.

(...)

« C’est dommageable car, en tant que juive, j’ai grandi avec de faibles revenus et j’ai partagé ma bat mitzvah avec ma sœur. Cela ne représente pas nécessairement mon expérience juive », ajoute-t-elle. « Il y a beaucoup, beaucoup de Juifs qui contractent des prêts importants pour payer leur bar mitzvah, leur mariage, leur maison et le bon code postal, parce qu’ils n’ont pas l’impression d’avoir une autre option s’ils veulent faire partie de la communauté juive. »

(...)

Mais l’analyse se concentre davantage sur ce qu’il considère comme des occasions manquées, par exemple en attirant l’attention sur le personnage non-juif issu de la classe ouvrière joué par l’actrice juive Kat Dennings dans la sitcom de CBS « 2 Broke Girls ».

« Il n’y a aucune raison pour que son personnage n’ait pas été écrit en tant que juif », estime Moore.

(...)

https://fr.timesofisrael.com/les-juifs-pauvres-sont-sous-representes-dans-la-culture-pop-us-etude/

Doc now online

Did you know that one in five Jewish persons in New York lived in or near poverty? This reality is often obscured by antisemitic clichés and mere ignorance, but it exists: we even did a full documentary about it, which we ironically titled "Jews Got Money." 

1. Dedicated charities have been supporting NYC's many Jewish poor with kosher soup kitchens and other philanthropic actions, targeted for instance at the elderly. One of them is the Metropolitan Council on Jewish Poverty:


2. Jewish poverty is nothing new. In NYC, it persisted long after WW2; a Village Voice story in 1972 helped renew public awareness of this issue:


3. Years later, Jewish poverty still remains fairly invisible, in part due to shame. According to one of our intervieweees, Malcolm Hoenlein (pictured below, and once described as "the most powerful Jew in the Western world"), there's a certain stigma in the Jewish community about getting assistance.



4. Our shooting then took director Sasha Andreas to Staten Island, where he visited the Hebrew Free Burial Association:




5. Since its creation in the 1880s, the HFBA has buried over 60,000 indigent Jews, from newborns and elderly people to victims of the 1911 Triangle Shirtwaist Factory fire. It caused the deaths of 146 Manhattan garment workers, many of them Jewish immigrants, such as Kalman Donick:


6. One of the duties of observant Jews is to perform Tzedakah, "a Hebrew word literally meaning justice or righteousness but commonly used to signify charity." Their donations help support the work of associations such as the HFBA, which have witnessed an influx of poor Jews from the former USSR in the past decades. 

(Image from Wikimedia Commons: Tzedakah box, Charleston, 1820, National Museum of American Jewish History)


lundi 4 mars 2024

“It’s all about the Benjamins baby”

 

THE GOLDEN AGE OF AMERICAN JEWS IS ENDING

Anti-Semitism on the right and the left threatens to bring to a close an unprecedented period of safety and prosperity for Jewish Americans—and demolish the liberal order they helped establish.


https://www.theatlantic.com/magazine/archive/2024/04/us-anti-semitism-jewish-american-safety/677469/

dimanche 3 mars 2024

Full doc: Steven Pinker

Full doc: Yanis Varoufakis

mercredi 28 février 2024

Who was fucking right ?

Dans la série : J'avais raison depuis le début et "Les gens se vengent des services qu'on leur rend"!

 J'avais écrit le mois dernier à ce "collectif," leur expliquant, que ça serait peut-être bien qu'on unisse nos forces ? Que je ne comprenais pas le silence de toutes ces assos. J'avais demandé un coup de main.

"A t-on jamais vu une guerre gagnée par des autruches ? Si vs avez le moindre exemple, donnez le moi, j'en ferai un docu..."

Et encore une fois. Silence...


Et un mois aprés, tadaaaaa: https://www.bfmtv.com/societe/religions/on-dit-que-les-juifs-sont-riches-un-collectif-lance-une-campagne-pour-denoncer-les-stereotypes-antisemites_AV-202402270844.html


Ces gens s'imaginent pouvoir mener ce combat SANS unir les forces. 

J'encourage le fond, évidemment, c'est trés bien de souligner cet angle! ENFIN! (légèrement Tardif) mais la forme me dérange. Je n'ai cessé de chercher (depuis 2012!) à coopérer avec ces assos (subventionnées).

Et maintenant qu'il y a le feu. Bizarrement, ils se réveillent. Mais continuent à rester entre eux... 

Entre subventionnés, issus du même sérail, ayant fréquenté les mêmes écoles, grandi dans les mêmes quartiers, tjs avec les mêmes réseaux, tjs les mêmes têtes, les mêmes blabla insipides, qui produisent encore et encore la même éternelle incompétence. Mais bon, ils se sentent bien comme ça, dans l'entre-soi, à flamber l'argent public, dans du rien, des pétitions, des cris, des affiches, des réunions stériles, tjs plus de subventions, tjs plus de dîners inutiles, de locations de salles, de galas, des assises, partir ensemble en vacances, pour hurler leur "solitude", leur "abandon", exiger des "initiatives", des "réactions fortes", "il n'y a pas la mobilisation qu'il faudrait"...

Je me demande combien de gens, comme moi, tentent de donner des coups de main (sans subventions) et ne reçoivent strictement jamais aucune réponse...?

#Dissonancecognitive Niveau maximal !

Ils se gavent de subventions et associent hypocrisie et lâcheté.

On marche sur la tête. Je leur ai bien expliqué que je pensais, raisonnablement, qu'il n'y aurait plus bcp de juifs d'ici 20 ans en France, au vu de toute l'hypocrisie de ces "élites" et de leurs brillantes stratégies.

Je maintiens le diagnostic!

Thanks for the silence. It's the outsiders who change the world!


Ne changez rien.


"Je demande à vous tous, juifs et non-juifs, qui êtes préoccupés par notre avenir commun et nos valeurs communes, de faire une chose : levez-vous et faites entendre votre voix. Stoppez l'antisémitisme maintenant", a conclu Benjamin Netanyahou"

Traduction: Blablablablabla....